Le vieillard venait d'arriver dans la journée, il faisaient parti de ces quelques voyageurs que parfois notre caravane accueille pendant quelques temps, ces voyageurs prenait part à nos activité qui consistait pour la majeure partie à faire la fête et à se battre. La plupart d'entre eux était de modeste vagabond. La seule chose que nous pouvions leur substituer était leur savoirs, ce qui ne vaut pas grand chose entendons nous bien !
Ce soir là comme toujours après avoir ramené un nouveau trésor, la caravane s’enivrait d'une musique bien particulière. Dans un coin certain chante, accompagné par un  orchestre de flûte, banjo ou tout autre objet produisant un son un tant soi peu harmonieux. Un peu plus loin on entend les clameurs d'encouragement rythmé par le choc de l'acier de ceux qui combattent. Le tout baigné dans un flots ininterrompu de bière. Le vieillard qui venait d'arriver bien étranger à tout ça prit place autour du feu à ses premier mots, l'assemblé se tut. On entendait plus que le vent rythmé par le crépitement du braise. Laissant ainsi place à une tout autre musique. Le voyageur entama alors sont récits:

« « Au Nord régnait la neige et le froid. Au sud le sable et la chaleur, entre les deux une vallée verdoyante et peuplée»
Tel étaient décrites les contrées d'Exoria, il y à a peine quelques dizaines d'années. Que c'est-il passé ? Vous vous le demandez sûrement ? Ou alors non ? Certains d'entre-vous ont sûrement vécu cette histoire. ». Le vieil homme regarda un par un chacun des membres de son auditoire. Certains parmi les Shahs acquiescèrent. Une fois son tour d'horizon fini il repris :
« En Exoria Cohabite principalement deux Divinités. La première Calhia déesse du feu, de la chaleur et protectrice du désert. La seconde Fjoror Dieu du froid de la glace et protecteur des mont enneigées. Tout deux avait un temple, celui de Fjoror situé au nord dans les plaines glacées et celui de Calhia au Sud au beau milieu d'un oasis dans le désert. Dans chacun de ces temples se trouvais une statue haute de plusieurs mètres qui selon les rumeurs permettrait de modifierais. Selon d'autres rumeurs tant que les deux statue sont en place paraît-il qu'il n'y à craindre du climat et qu'il se comportera de manière "normale". Mais ce ne sont que des rumeurs...
Entre les deux relativement proche de la capitale d'Exoria, traînais une bande de bandits, qui vénéraient un dieu fourbe et rusé que certains appelai Nok ou parfois même l'oublié mais la plupart préfère ne pas y penser. Ces bandits qui se faisaient appeler Shahs du désert, probablement venaient-ils du désert, Sévissaient dans la capitale et ses alentours lutant contre l'autorité et substituant au riches leur biens. Un jour Nok leur souffla l'idée que si il réussissaient à récupérer, les deux statue cela leurs permettrais de contrôler le climat, ce qui peut s'avérer pratique dans certains cas, comme faire payer les propriétaires terrien par exemple... Puis même si cela ne ne marchais pas il pourrais toujours les vendre.

Yop ! j'ai pas avancé sur l'autre (mea culpa), mais l'idée était la même en fait, à savoiur un back collaboratif sur l'apparition des dieux en exoria ^^
EDit qui me vient après avoir écrit ça : on peut en écrire deux versions, vue par différents persos, ca peut être rigolo ^^

oki je me demandais si t'attendais pas qu'on y réponde beh en fait si. J'essayerais de faire un truc si j'ai une idée. Pour ton idée ça pourrait être drôle oui effectivement après ça pourrait faire beaucoup de doublon mais pourquoi pas. Après la on à la version raporté d'un mec qui n'y était pas ça pourrait être drôle de comparer avec la vraie version ^^(ces messages je propose qu'on les supprime une fois le back finit.

Shah Pitre écoutait le vieillard avec attention bien qu'il ait entendu une bonne dizaine de fois cette histoire. Les versions ne correspondaient jamais et le shah se demandait quand celle-ci rejoindrait joyeusement les vertes contrées du n'importe quoi. C'était l'unique constante, exaspérante, de ces putains[1] d'histoires: à un moment elle devenaient toutes ce qu'un commentateur prudent appellerait des conjectures osées mais peut étayées. Shah Pitre préférait un ramassis de foutaises, l'idée passait mieux.

Deux statues… Ça commençait bien, tout le monde s'accordait plus ou moins là-dessus ce qui n'empêchait pas certains de soutenir qu'il y en avait eu une, trois ou cinq --- étonnamment pas quatre --- voire que ce n'était pas des statues mais des vaches sacrées.Un des plus anciens Shah avait même affirmé, un jour, qu'il y en avait eu 17,6 car l'une d'elle était un peu plus petite que les autres mais Pitre était presque convaincu qu'il s'agissait d'une blague.

Le soleil finissait sa course de la journée et le ciel perdait sa teinte orangée pour se napper de son bleu de nuit quand l'ancêtre aborda le vol de la première statue :
«Les gardes de Calhia sont connus pour leur tempérament agressif et sanguin, leurs armes disproportionnées et pleines de piques en témoignent. Les shahs ont donc envoyé quelques membres, habillés en fidèles de Fyoror, les noyer sous les insultes et les moqueries. Quelques instants plus tard, les gardes poursuivaient les shah déguisés permettant à une autre équipe de shah de s'infiltrer dans le temple déserté et s'emparer de la statue, non sans avoir dépouillé le grand prêtre resté là.»

[1] Shah pitre s'excusa intérieurement auprès de sa vielle maman pour avec pensé cette grossièreté, puis, perdu pour perdu, décida d'ajouter saloperie et bordel.

Shah Lant arriva à ce moment-là, se demandant si on servait du canard ( qui était son plat préféré ). Voyant qu'il n'y en avait pas, il se reporta sur une choppe de bière et grimaça en la sirotant, parce que décidement, le vin, ça a quand même meilleur goût. Pour oublier ses déboires gustatifs, il décida d'écouter ce que disait le vieil homme, qui continuait :

"Les shahs arrivèrent donc devant la statue, qui mesuraient au moins trois mètres, voir plus. Elle représentait une femme au visage terrible, avec des incisive acérées dans sa bouche grande ouverte, un troisième oeil au milieu du front, et surtout, quatre bras. Une main tenait une flamme sculptée dans un énorme rubis au sein de sa paume ouverte, la deuxième un crâne humain véritable, les deux autres des sabres disproportionnés. La statue était posé sur un socle de basalte gravé de bas-reliefs et sculptée dans du bois de santal peint d'ocre..."

-C'est pas un peu con de tailler une statue de déesse du feu dans du santal ? l'interrompit Lant
-Pourquoi donc ? C'est un bois sacré aimé des dieux, répondit le vieillard.
-Ben justement, c'est du bois...C'est inflammable... Alors une icône du feu taillé dedans, c'est...c'est rigolo...
-...

Un silence assourdissant s'abattit sur l'auditoire. Lant se racla la gorge et dit qu'il allait chercher un tonnelet à l'autre bout du campement. Le vieil homme reprit son récit :

"Se posa alors aux shahs un problème d'ordre pratique : comment transporter une statue aussi lourde ? Il fut finalement convenu qu'on emporterait d'abord la flamme de rubis et les sabres, et qu'on mettrait ensuite la statue sur un chariot qui attendait à l'extérieur. Le plan fut mis à exécution, mais quand les shahs voulurent sortir du temple, ils s'aperçurent que de grandes silhouettes à l'allure immobile se tenaient devant l'entrée..."

Voilà, je vous invite à écrire la suite ^^